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Carlo Maderno (Capolago, 1556 – Rome, 30 janvier 1629) était un architecte suisse-italien, né près de Lugano en Suisse, de style baroque.
A Rome, il a assisté pendant plusieurs années son oncle Domenico Fontana, qui était considéré comme un des plus grands architectes de son temps.
Les premiers travaux qui furent confiés à Maderno étaient principalement d’ordre technique avec le transfert des statues des Dioscures sur la Piazza del Quirinale, l’érection des obélisques à Santa Maria Maggiore, au Latran, sur la Place du Peuple, au Vatican (1587-1589). Il participa aussi à des projets d’ingénierie hydraulique. Il eu aussi la charge de la restauration de la Cappella Foscari dans la basilique Santa Maria del Popolo. Après le départ à Naples de Fontana, tombé en disgrâce à la mort de Sixte V, Maderno prit la direction de l’entreprise familiale.
Sa première réalisation architecturale fut la façade de Sainte-Suzane, souvent considérée comme le premier exemple aboutit du baroque.
Peu après il fut engagé par le noble Mattei pour la construction de son palais et il rentra au service du Pape Clément VIII, puis de Paul V. Il fut l’architecte de la façade de la basilique Saint-Pierre et de la nef longitudinale. Il participa à d’autres projets architecturaux au cours de sa vie, dont le Palais des Papes de Castel Gandolfo. Sur plusieurs de ses chantiers, il employa son jeune neveu Francesco Borromini, devenu par la suite un architecte au style baroque unique.
Francesco Borromini, de son nom de naissance Francesco Castelli (25 septembre 1599 – 2 août 1667), était un architecte italien né dans le Tessin qui, avec ses contemporains Gian Lorenzo Bernini (Le Bernin) et Pietro da Cortona (Pierre de Cortone), a été une figure de l’architecture baroque romaine.
Inspiré par l’architecture de Michel-Ange et l’antiquité romaine, Borromini a développé une architecture inventive et singulière, en manipulant des formes classiques, des géométriques et symboliques. Il semble que sa compréhension des structures architecturales était plus développée que chez ses contemporains Le Bernin ou Cortona, d’abord formés dans d’autres domaines artistiques. Sa carrière a pu être limitée par sa personnalité. Contrairement à Le Bernin qui jouait aisément le rôle de courtisan charmeur pour obtenir des commandes, Borromini était d’une personnalité mélancolique et introverti, ce qui le conduit à se retirer de certains projets. Il mourut par suicide. Après quelques collaborations avec Le Bernin (à Saint-Pierre et au Palais Barberine), ils devinrent rivaux, ce qui eu un grand impact sur la carrière et la vie de Borromini. Certains historiens considèrent que le Bernin, conscient du talent de son ancien associé, essaya de faire obstacle à sa carrière.
Son influence fut limitée, sauf exception comme dans les œuvres piémontaises de Camillo-Guarino Guarini, et avec Le Bernin et Cortona, dans l’architecture du baroque tardif de l’Europe du Nord. Cependant, à partir de la fin du XIXe siècle, l’intérêt pour les œuvres de Borromini a été relancé et son architecture est devenue appréciée pour son inventivité.
Réalisations de Borromini à Rome
Œuvres principales de Borromini
San Carlo alle Quattro Fontane En 1634, Borromini a reçu sa première grande commande indépendante pour concevoir l’église, le cloître et les bâtiments monastiques de San Carlo alle Quattro Fontane (également appelé San Carlino). L’église fut construite de 1638 à 1641, et dédiée en 1648 à San Carlo Borromeo. Bien que petite, elle est considérée comme un chef-d’œuvre du baroque romain.
Oratoire des Philippins Après avoir reconstruit à la fin du XVIe siècle l’église de Santa Maria in Vallicella (devenue Chiesa Nuova), les oratoriens engagèrent Borromini à partir de 1637 pour construire palais et oratoire attenant à l’église.
Sant’Ivo alla Sapienza De 1640 à 1650, il a travaillé à la conception de l’église de Sant’Ivo alla Sapienza et de sa cour, près du palais de La Sapienza de l’université de Rome. Il avait été initialement recommandé en 1632, par son superviseur de l’époque travaillant au Palazzo Barberini, Gian Lorenzo Bernini. Le lieu étroit à été un défi pour l’architecte.
Autres œuvres et participations de Borromini
Sant’Agnese à Agone Borromini fut l’un des architectes impliqués dans la construction de l’église de Sant’Agnese à Agone à Rome. Non seulement certaines de ses intentions de conception ont été modifiées par des architectes successifs, mais le résultat net est un bâtiment qui reflète, malheureusement, un mélange d’approches différentes.
Raffaello Sanzio (Urbino, 6 avril 1483 – Rome, 6 avril 1520), dit plus simplement Raphaël en français, était un peintre et architecte italien, l’un des plus célèbres de la Renaissance italienne. Il est considéré comme l’un des plus grands artistes de tous les temps; son travail a inévitablement inspiré les peintres qui ont suivi et est à l’origine de l’école du maniérisme. Son style se caractérise par une harmonie du dessin et de la couleur, sans que l’un ne domine l’autre. On confronte souvent la grazia (grâce) et la dolce maniera (manière douce) de Raphaël à la terribilità (style puissant) de Michel-Ange. Il s’inspira de son maître, le Perugin, dans la douceur de ses traits, mais aussi de Michel-Ange pour le modelé des corps et de Léonard de Vinci avec le sfumato (technique qui estompe les contours). Né et ayant grandit à Urbino. De 1499 à 1504 il vécu à Città di Castello, ainsi qu’à Pérouse et ses environs, et à Sienne. De 1504 à 1508, il fut à Florence, puis à Rome jusqu’à sa mort en 1520.
Retable Oddi, 1502-1503, 267×163 cm. Annonciation / Adoration des Mages / Présentation au temple
Retable Baglioni, 1507, polyptyque, en plusieurs parties Speranza / Carità / Fede, 16×44 cm
La Vierge de Foligno, 1511-1512, 320×194 cm
Transfiguration
Tapisseries de Raphaël, 1515-1516, destinées à la Chapelle Sixtine, les sept cartons conservés sur les dix sont à Londres La Vie de Pierre : La Pêche miraculeuse / Jésus-Christ donnant les clés du Paradis à Pierre / La Guérison du boiteux / La Mort d’Ananias La Vie de Paul : La Lapidation de saint Étienne (pas de carton) / La Conversion de Saint Paul (pas de carton) / La Conversion du proconsul / Le Sacrifice de Lystre / Saint Paul en prison (pas de carton) / Saint Paul prêchant à Athènes
Transfiguration, 1518-1520, 405×278 cm
Couronnement de Monteluce, 1524-1525 (posthume), 354×230 cm
Michelangelo Merisi, dit Le Caravage (Caravaggio en italien), (28 septembre 1571 à Milan – 18 juillet 1610 à Porto Ercole) était un Peintre italien actif à Rome, Naples, à Malte et en Sicile. Ses peintures innovent à l’époque, combinant une observation réaliste de l’homme, aussi bien physique qu’émotionnelle, avec une utilisation dramatique de l’éclairage (le clair-obscur). Il eu une forte influence sur le mouvement baroque issu du maniérisme, à l’origine du Caravagisme, inspirant de nombreux artistes comme Pierre Paul Rubens, Jusepe de Ribera, Gian Lorenzo Bernini et Rembrandt.
Le Caravage a fait de l’éclairage un élément stylistique dominant, assombrissant les ombres et transposant les sujets dans des puits lumineux. Il exprime de façon vivante des moments et des scènes cruciaux, souvent caractérisés par des luttes, des épreuves ou la mort. Il avait l’habitude de travailler rapidement, directement sur la toile, et avec des modèles vivants.
Il a suivi sa formation de peintre à Milan avant de déménager dans la vingtaine à Rome. Il eu rapidement un grand succès, obtenant des commandes prestigieuses. Il fut aussi connu pour être un homme sensible et parfois violent. En 1606, à la suite d’une bagarre ou d’un duel qui entraîne la mort de son adversaire, il est condamné pour meurtre. Il fuit Rome pour vivre en exil à Naples, puis à Malte et en Sicile. Il essaie de racheter ses fautes auprès du Pape, notamment par ses œuvres. De retour à Naples en 1609, il fut de nouveau impliqué dans un affrontement violent, ayant été défiguré d’après les témoignages. Il mourut en 1610 dans des circonstances incertaines (officiellement de fièvre) en se rendant de Naples à Rome. Certains on évoqué un assassinat ou un empoisonnement au plomb.
Les innovations du Caravage ont inspiré la peinture baroque, mais son œuvre fut assez rapidement oubliée. C’est au XXe siècle que l’intérêt pour son travail a été relancé et son importance dans le développement de l’art occidental et la peinture moderne a été réévaluée.
Ci-dessous, un parcours de Rome pour découvrir les œuvres du Caravage qui se trouvent dans la capitale italienne, au détour des ruelles du centre historique de la ville.
Le Caravage dans des églises de Rome
Saint Matthieu et l’ange
Le triptyque de Saint Matthieu à Saint Louis des Français (San Luigi dei Francesi) : la vocation de saint Matthieu, le martyre de saint Matthieu et saint Matthieu et l’ange. L’une des plus importantes charges de la carrière du Caravage fut la décoration de la Chapelle Contarelli en 1599, dans l’église baroque de Saint Louis des Français, près de la Place Navone. Le Caravage y a développé une série de trois peintures consacrées à la figure de saint Matthieu. Ces œuvres eurent dès leur installation un grand prestige. Saint Matthieu et l’ange (1602) a été refait par l’artiste, après le rejet d’une première version par ses clients. Elle montrait le saint comme un homme chauve aux jambes sales qui semblait souffrir pour écrire, aidé par un ange qui lui tenait la main. Ce tableau été détruit pendant la Seconde Guerre mondiale, mais il en reste des reproductions photographiques.
La crucifixion de Saint Pierre
Les deux Caravage à Santa Maria del Popolo Dans la basilique Sainte Marie du Peuple (Santa Maria del Popolo), on peut admirer deux chefs-d’œuvre de l’artiste qui datent de 1601: la conversion de saint Paul sur la route de Damas (dans la Chapelle Cerasi) et la Crucifixion de Saint-Pierre. Les versions originales de ces peintures furent rejetées. Dans la première version de la Conversion de saint Paul, le saint semblait une figure secondaire devant la dominance du cheval dans la composition. Cette œuvre se trouve au sein d’une collection privée de la famille Odescalchi Balbi, de temps en temps exposée. La première version de la Crucifixion de Pierre a disparu
Madone des Pèlerins
Madone des pèlerins (Madonna di Loreto) dans l’église Sant’Agostino La Madonna di Loreto (Madone des pèlerins) est exposée dans l’église Saint-Augustin, peinture exécutée en 1604 pour le compte de Ermete Cavalletti, afin d’orner la chapelle familiale.
Le Caravage dans des musées et des palais de Rome
Trois œuvres à la Galerie Doria Pamphilj. La Galerie Doria Pamphilj abrite trois œuvres de l’artiste.
Madeleine repentante
La Madeleine repentante (1594, La Maddalena Penitente), Repos pendant la fuite en Egypte (1594, Riposo durante la Fuga in Egitto) et Saint Jean-Baptiste (1602, San Giovanni Battista). La Madeleine faisait partie d’un ensemble destiné à décorer les salons du premier client du Caravage, le cardinal Francesco del Monte. Le modèle était une prostituée qui apparaît aussi dans la Mort de la Vierge (maintenant au Louvre). Des années plus tard, elle a été retrouvée morte dans le Tibre.
La Galerie Borghese conserve un important ensemble des œuvres du Caravage : Le garçon à la corbeille de fruits (1593-1594), le Jeune Bacchus Malade (1593, autoportrait possible), Madone des Palefreniers (1606), Saint Jérôme, Saint Jean-Baptiste (1609-1610) et David et Goliath (1606-1607, Davide con la testa di Golia). Dans ce dernier le Caravage s’est représenté face au géant décapité.
La Mise au Tombeau (1602-1604, Deposizione di Cristo) est la seule œuvre du Caravage aux Musées du Vatican, mais celle-ci est d’une grande beauté. Elle a reçu un consentement unanime (ce qui était rare pour le Caravage), et beaucoup d’admiration des critiques contemporaines.
Trois tableaux au Palais Barberine (Palazzo Barberini) Narcise (1597-1599), Judith et Holopherne (1602, Giuditta e Oloferne), Saint-François en méditation (1605). Le Judith et Holopherne fut célèbre à l’époque, en ayant surpris et choqué les visiteurs à son emplacement d’origine, en raison de son réalisme et sa crudité. Des peintres reprirent l’œuvre par la suite, comme Artemisia Gentileschi (Judith Tueur d’Holopherne, 1620) et Francisco de Goya (Judith et Holopherne, 1820). Le Narcisse, est daté d’environ 1597-1599. Il existe un débat autour de l’auteur de ce tableau. Saint-François en méditation date de 1605.
Saint Jean-Baptiste au bélier
Deux tableaux des musées du Capitole Dans les Musées du Capitole, on peut admirer l’une des huit représentations de saint Jean-Baptiste que l’artiste a créé au cours de sa vie, le Jeune Saint Jean-Baptiste au bélier (San Giovanni Battista ou Giovane con un montone), de 1602, identique à celui de la Galerie Doria Pamphili. Le tableau de la Diseuse de Bonne Aventure (Buona ventura), d’environ 1594, est célèbre et souvent copié par d’autres artistes. Il en existe une version postérieure exposée au Musée du Louvre.
Saint Jean-Baptiste au Palais Corsini Cette version de Saint Jean-Baptiste (la cinquième réalisée par le peintre) date d’environ 1604. L’iconographie est inhabituelle.
Jupiter, Neptune et Pluton
Peinture murale dans la Villa Ludovisi Jupiter, Neptune et Pluton (Giove, Nettuno e Plutone), d’environ 1597, de 300 par 180 cm, peinture murale ornant un plafond du Casino de la Villa Boncompagni Ludovisi
Gian Lorenzo Bernini, dit Le Bernin (Naples, 7 décembre 1598 – Rome, 28 novembre 1680), fut un important sculpteur, architecte et peintre. Son art, typiquement baroque, est caractérisé par la recherche du mouvement, le spectaculaire et les effets d’illusion. Par la qualité et la quantité de sa production, il est considéré comme le maître de l’art baroque à Rome.
Fils d’un sculpteur d’origine florentine, Pietro Bernini, qui travailla pour le compte du pape Paul V, Gian Lorenzo Bernini fut repéré très jeune. Il fut employé presque sans interruption par les pontifes, dont Grégoire XV qui le nomma chevalier, et Urbain VIII. Ainsi, il fut l’architecte de la colonnade et des statues de la place Saint-Pierre, du baldaquin de la basilique. Il réalisa notamment plusieurs fontaines monumentales, dont celle des Quatre Fleuves, d’un baroque très vif. Ses œuvres eurent une grande influence sur l’urbanisme romain.
Restauration de l’église Sainte-Marie-du-Peuple (1655 – 1661), avec en particulier la décoration de la nef et du transept et réalisation de la chapelle Chigi.
Daniele da Volterra : Michelangelo Buonarroti, vers 1544. The Metropolitan Museum of Art, New York
Michel-Ange (Caprese, 6 mars 1475 – Rome, 18 février 1564) , Michelangelo en italien, de son vrai nom Michelangelo di Lodovico Buonarroti Simoni), était un sculpteur, peintre, architecte, poète et urbaniste originaire de Florence, à l’époque de la Haute Renaissance.
Beaucoup de ses œuvres sont considérées comme des chefs-d’œuvre majeurs de la Renaissance. Il jouissait déjà de son vivant d’une grande reconnaissance. Citons le David (1504), qui se trouvait devant le Palazzo Vecchio de Florence ; la Pietà (1499), dans une chapelle de la basilique Saint-Pierre de Rome ; le Moïse (1515) du tombeau de Jules II dans la basilique Saint-Pierre-aux-Liens de Rome ; plusieurs œuvres dans la Chapelle Sixtine au Vatican : le plafond peint entre 1508 et 1512 ; le Jugement dernier réalisé entre 1536 et 1541 sur le mur de l’autel. Comme architecte, il a notamment créé le dôme de la basilique Saint-Pierre, ou la Place du Capitole à Rome.
Liste d’œuvres et de réalisations de Michel-Ange que l’on peut découvrir à Rome
Pietà, 1499–1500, Basilique Saint-Pierre, Rome, Marbre (hauteur : 174 cm, largeur à la base : 195 cm) La Pietà est exposée dans une chapelle à droite de l’entrée de la basilique Saint-Pierre. Elle représente la Vierge Marie tenant sur ses genoux le corps du Christ descendu de la Croix. C’est une des plus célèbres œuvres d’art au monde, ayant assuré la célébrité de Michel-Ange.C’est à l’origine une commande du cardinal français Jean Bilhères de Lagraulas, abbé de la basilique Saint-Denis, ambassadeur de France auprès du pape. Elle devait orner le monument funéraire en mémoire du roi défunt Charles VIII (mort en avril 1498) dans la chapelle Santa Petronilla (la chapelle des rois de France) de l’ancienne basilique Saint-Pierre. Michel-Ange a choisi un bloc de marbre de Carrare, de couleur crème. Il aurait travaillé vingt heures par jour pour respecter l’échéance du contrat, avec ciseau, marteau et pierre ponce.En mai 1972, un déséquilibré a mutilé la sculpture à coups de marteau, brisant le nez de la Vierge et une partie du bras. Elle a depuis été restaurée. Ces travaux de restauration ont révélé sur la main gauche de la Vierge le monogramme de Michel-Ange, un « M » dessiné sur la paume.
Moïse, vers 1513–1515, Tombeau de Jules II, Marbre (hauteur : 235 cm). La statue de Moïse est intégrée dans le Tombeau de Jules II qui devait à l’origine orner la basilique Saint-Pierre de Rome. Elle représente Moïse, descendu du Sinaï avec les Tables de la Loi, qui regarde courroucé, les Juifs adorant le veau d’or. Il devait se trouver au dernier étage du tombeau. Le Moïse porte des cornes, ce qui a fait de l’objet de débats, entre l’interprétation lié au rayonnement spirituel et celle d’une mauvaise interprétation des textes bibliques.
Gino Sorbillo, dit le roi de la pizza napolitaine ouvre une pizzeria à Rome sur la place Piazza Augusto Imperatore, à partir du 29 juillet 2018. Les pizzas de Gino Sorbillo sont typiquement napolitaines, à la farine biologique, la tomate et à la fior di latte de Campanie. Il y aura un service à emporter et peut-être aussi, pour la première fois à Rome, la fameuse mini pizza “pizza en porte-feuille” qui à Naples sort des fours dès 11h du matin.
Gino Sorbillo, entrepreneur-pizzaiolo né dans les rue du quartier des Tribunali de Naples est devenu le patron d’un réseau d’excellence de la pizzeria, de à Naples à Milan et à New York.
Gino Sorbillo pizzeria
Piazza Augusto Imperatore
Pizzeria Emma
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Pizzeria Emma41.894989, 12.475179Pizzeria Emma
Via del Monte della Farina, 28 - Roma
Voici une petite sélection, non exhaustive, des cafés romains les plus réputés. Breuvage simple dans la plupart des pays, le café à Rome et en Italie peut prêter à une certaine complexité, pouvant se déguster de diverses façons : expresso (café court classique), lungo (allongé), ristretto (café plus court), macchiato (avec un nuage de lait), latte (au lait), corretto (arrosé avec un alcool, souvent de la grappa). En outre les cafés proposent souvent d’autres préparations propres, accompagnant la café par exemple de chocolat et/ou de crème glacée, etc
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